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Les partenaires @position |
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Moteur de recherche ou annuaire ? - �tude @position / eStat - avril 2002 |
Fr�d�ric Bailly - Pr�sident Fondateur du r�seau Les D�mineurs |
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@position interrog� par Olivier Andrieu (Abondance) |
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articles
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Les partenaires @position |
La synergie des comp�tences d�experts pour un
meilleur service de r�f�rencement.
@position regroupe autour de ses activit�s les
partenaires essentiels � la construction de nouvelles
solutions de r�f�rencements.
Pour chacune des nouvelles solutions d�velopp�es,
@position a choisi de travailler avec des experts
reconnus dans leur domaine : analyse d�audience,
supervision des services IP, annuaire de recherche,
analyse s�mantique et profiling.
Avec chacun de ses partenaires, @position a construit
de nouvelles solutions exclusives : indicateurs,
barom�tres et prestations. C�est la concr�tisation de
longs mois de travail en commun, de recherche et de
d�veloppement dans des conditions relationnelles
humaines et p�rennes (http://www.aposition.com/partenaires_referencement.htm).
L�analyse d�audience avec eStat, certifi� CESP et
b�n�ficiant du Label � Diffusion Contr�le � (OJD).
� Sous forme de rapport quotidien ou d'indicateurs
en temps r�el, eStat apporte aux responsables de sites
Internet un regard sur la nature des clients et leur
r�action lors de la navigation. Hautement
strat�giques, ces informations sont indispensables
pour produire et g�rer des sites Internet de qualit�.
Avec @position, nous partageons chaque jour expertise
et r�activit� pour mener � bien notre mission pour le
plus grand b�n�fice de nos clients communs. �
Laurent Bazet � PDG eStat �
http://www.estat.com.
L�accessibilit� et la performance de vos services
Internet et Intranet avec Witbe, leader du monitoring
et du management des services IP critiques.
� Dans le cadre de notre partenariat constructif
avec @position, nous avons sp�cifiquement d�velopp�
une offre d�audit qui permet de conna�tre r�ellement
la performance technique d'un service en ligne et de
savoir si sa qualit� d'utilisation est conforme aux
objectifs et aux enjeux de l�entreprise. Cette qualit�
est d�finie par la disponibilit�, la rapidit� et
l'int�grit� du service, telle que l'exp�rimente
l'Internaute au quotidien et non pas telle que la
remonte les serveurs de l'entreprise. � Fabrice
Kabache - Business Developpement � Witbe
�
http://www.witbe.net.
Le r�f�rencement sur mesure avec Nomade.fr, portail de
recherche francophone et international. Cr�� en 1996,
Nomade.fr est le premier annuaire de recherche
Internet lanc� en France. Apr�s plus de 5 ann�es de
croissance, il est aujourd'hui l'un des principaux
outils de recherche sur le Web francophone. L'offre
Nomade.fr s'articule autour de la recherche de sites
Web, gr�ce � un annuaire propre de plus de 155.000
sites class�s, compl�t� par un moteur de recherche
international. La force de la recherche Nomade.fr
r�side dans la qualit� des sites r�f�renc�s (garantie
par une politique documentaire approfondie) et dans la
r�activit� de ses �quipes, qui assurent la
disponibilit� en ligne des sites les plus r�cents. En
marge de la recherche, le site propose �galement un
certain nombre de services pratiques tel l'E-mail
gratuit ou l'info en direct. Aujourd'hui, Nomade.fr
compte plus de 45 millions de pages vues par mois (Netgravity,
oct. 2001) avec 4,8 millions de visites (source
Weborama, nov. 2001), et 835 000 visiteurs uniques
(source MMXI, oct. 2001), pour un taux de p�n�tration
de 9,5 % de la totalit� des internautes fran�ais
(source MMXI, oct. 2001). Nomade.fr est le portail de
recherche exclusif du Groupe Tiscali en France,
deuxi�me fournisseur d'acc�s Internet d'Europe.
� Le r�f�rencement sur Nomade.fr est une �tape
incontournable de votre strat�gie de communication.
Gr�ce � une �quipe souple et disponible, les
modifications intervenues sur votre site (ou dans
votre activit�) sont r�percut�s sur Nomade.fr dans des
d�lais extr�mement brefs. Un moyen in�gal� de
ma�triser le r�f�rencement de votre site, et votre
communication dans sa globalit�. � Mathilde
Tison � Resp. Equipe R�f�rencement �
http://www.nomade.fr.
L�expertise de 180 op�rationnels de l'Internet r�unis
dans le r�seau des D�mineurs. Ni SSII, ni cabinet de
conseil, ni agence web, ils couvrent 80% des m�tiers
des nouvelles technologies et sont rompus aux
interventions d'urgence en situation critique :
objectifs d�pass�s, manque de ressources ou de
management, d�veloppements instables, exploitation
d�faillante, architecture d�ficiente, absence de
fonctionnalit�s et de services � valeur ajout�e,
probl�mes de performances, d'int�grit� ou de
s�curit�...
� De part son expertise humaine et sa technologie,
@position assure pour le compte des projets critiques
que nous traitons une intervention rationnelle et
efficace dans les domaines du r�f�rencement et du
positionnement. C'est un �l�ment cl� en amont et en
aval sur des projets sensibles, �l�ment qui nous sert
� qualifier sur certains aspects la pertinence de
l'intervention du r�seau. En situation d�licate, Les
D�mineurs ont besoin de s'appuyer sur des �quipes
r�actives et professionnelles dont la philosophie de
travail rejoint l'engagement de qualit� du r�seau. Ce
sont des valeurs que @position et les D�mineurs
partagent. � Fr�d�ric Bailly � Fondateur
et Directeur des D�mineurs �
http://www.lesdemineurs.com.
L�analyse s�mantique objective d�un site par un audit
des pages autour d�une base de connaissances riche de
plus de 60 000 concepts et enrichie d�une solution
multilingue avec Profile for you. Ainsi Profile for
you et @position r�pondent aux questions : face � la
masse d�informations que repr�sente votre site, �tes
vous s�r que votre site correspond bien � ce que vos
clients s�attendent � voir ? Le contenu de votre site
correspond-il r�ellement au contenu d�sir� dans votre
strat�gie ? Comment se r�partissent dans votre site,
vos th�matiques principales ?
� Profile for you est le leader du profiling
comportemental. Le profiling comportemental est dit
constat� : gr�ce a l'analyse lexicale et s�mantique
des pages, nous d�terminons les centres d'int�r�t,
l'age, le genre ainsi que la langue pr�f�rentielle de
l'internaute. Profile for you apporte son expertise
dans le domaine de l'analyse s�mantique. @position
utilise cette expertise afin de mesurer les �carts
entre les objectifs de r�f�rencement de ses clients et
la r�alit� du contenu de leurs pages. L'objectif de
Profile for you est d'apporter des solutions a ses
clients en se basant sur sa ma�trise du profiling
comportemental. A ce titre, le r�f�rencement est une
partie int�grante de la probl�matique de g�n�ration de
trafic qualifi� pour laquelle nous accompagnons nos
clients. Les synergies entre les deux soci�t�s sont
fortes. Les deux entit�s ont un r�f�rentiel commun
pour leur unit� d'analyse : la page web. Ce
d�nominateur permet de pousser des analyses fines
quant au comportement des internautes et la mani�re
dont ils arrivent sur cette page. C'est la finesse et
la rigueur de cette analyse qui nous pousse � nous
approcher �troitement de @position. � R�mi
Bataille � Chef Produits � Profile for
you �
http://www.profileforyou.com. |
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Moteur de recherche ou annuaire ? - �tude @position / eStat - avril 2002 |
Panorama eStat/@position :
73% des Internautes privil�gient les moteurs de recherche au d�triment des
annuaires. |
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Consacr� aux moteurs de
recherche et annuaires, le Zoom du Panorama eStat/@position de mars fait un
point d�taill� sur des outils qui g�n�rent d�sormais pr�s de 21% des visites
sur les sites.
Le succ�s des moteurs est r�el : 73% des Internautes privil�gient leur
utilisation par rapport � l�annuaire. Concernant l�utilisation des moteurs
et annuaires, celle-ci diff�re que ce soit au niveau du nombre de mots cl�s
utilis�s ou au niveau de l�obtention plus ou moins rapide du r�sultat
souhait�.
Les indicateurs cl�s du Panorama eStat/@position placent une nouvelle fois
Google en t�te des moteurs de recherche avec 44,06 % de parts de march�. |
Le Panorama eStat/@position
Mars 2002 pr�sente les r�sultats de l��tude portant sur l�analyse de plus de
81 millions de visites enregistr�es du 01-03-02 au 31-03-02 sur les sites
utilisant les solutions eStat. Les principaux outils �tudi�s sont : Google,
Yahoo, Voila-Wanadoo, Msn, Lycos, Altavista, Nomade et Alltheweb. |
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L��tude consacr�e aux moteurs
de recherche et annuaires r�v�le dans un premier temps le succ�s des moteurs
de recherche : 73% des internautes utilisent les moteurs de recherche contre
27% les annuaires. L�utilisation des versions francophones des moteurs et
annuaires tend � se g�n�raliser : 72,5 % des internautes naviguant � partir
de moteurs et annuaires utilisent la version fran�aise de l�outil. Depuis
d�cembre 2001, les visites g�n�r�es � partir de Google.fr augmentent de 3,5
points en moyenne et gagnent notamment des utilisateurs de Google.com. |
Ces premiers chiffres sur le
succ�s des moteurs sont � relativiser quand on approfondit les r�sultats des
outils combinant r�ponses moteurs et annuaires comme Yahoo et Nomade. La
proportion de l�utilisation des liens r�ponses fournis par l�annuaire
l�emporte alors sur ceux du moteur. Parmi les utilisateurs de Yahoo, 40%
optent pour les r�sultats fournis par le moteur (technologie Google), tandis
que 60% choisissent les r�sultats de l�annuaire ou la navigation dans
celui-ci. Pour Nomade, on obtient 53% d�utilisation du Guide, pour 47% le
moteur (technologie Google). |
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L�utilisation des moteurs de
recherche et annuaires diff�re, et peut �tre rattach� au mode de
fonctionnement de ces outils. 82% des utilisateurs des moteurs de recherche
obtiennent la r�ponse souhait�e d�s la premi�re page des r�sultats. Ce
chiffre n�est plus que de 43% pour les annuaires. Pour affiner leur
recherche, les utilisateurs d�annuaires continuent presque exclusivement
leur navigation � travers l�annuaire.
Ce taux de succ�s de la premi�re page de r�sultats des moteurs de recherches
peut �tre corr�l� avec le nombre de mots cl�s utilis�s dans les requ�tes :
37% des requ�tes des moteurs qui ont abouti � un lien r�ponse cliqu�
contiennent 3 mots ou plus tandis que les annuaires enregistrent des
requ�tes plus simples � un ou deux mots cl�s. Sur ce point, le moteur Google
se d�marque encore car pr�s de 50% de ses requ�tes contiennent 3 mots ou
plus. |
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Concernant les faits marquants
des cinq indicateurs cl�s du Panorama mensuel eStat/@position :
� Google reste largement en t�te des moteurs de recherche et atteint une
part de march� de 44,06%.
� La part des acc�s directs dans le nombre de visites g�n�r�es sur les sites
progresse de 1,96 points.
� Concernant les fournisseurs d�acc�s, les parts de march� des diff�rents
acteurs restent stables.
� Le dernier syst�me d�exploitation de Microsoft, Windows XP, augmente ses
parts de march� au d�triment de Windows 98.
� Concernant le classement des navigateurs, Internet Explorer domine avec
plus de 95% des parts de march�. |
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En d�tail |
Pr�s de 21 % des visites sur
les sites Internet sont g�n�r�es par des annuaires et moteurs de recherche
(1) . La question �tait rest�e jusqu�� pr�sent ouverte sur la fa�on dont les
internautes utilisent ces outils mis � leur disposition : quelle part
d�entre eux utilise les annuaires ou des m�ta-moteurs ? Les versions
francophones des outils de recherche sont-elles populaires ? Combien de
pages de r�sultats sont consult�es quel que soit l�outil utilis� ? Combien
de mots sont tap�s par requ�te ? |
eStat et @Position se sont
pench�s sur la question en analysant un mois de visites venant des
principaux outils de l�Internet francophone
(2) . |
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Moteur de recherche ou
annuaire ? |
Les internautes ont deux fa�ons
d�utiliser des moteurs de recherche : soit ils effectuent une recherche
d�ordre th�matique (en utilisant les guides et annuaires), soit ils
privil�gient une recherche par requ�tes (en tapant un ou plusieurs mots-cl�s
dans les moteurs de recherche). Sur l�ensemble de la population analys�e par
eStat au cours de Mars 2002, une nette pr�f�rence pour les requ�tes se
dessine : parmi les 21 % d�internautes ayant utilis� un outil de recherche
pour trouver un site Internet, une moyenne de 27 % utilisent les annuaires
et 73 % les moteurs de recherche . Parmi les utilisateurs de Yahoo, 40 %
optent pour les r�sultats fournis par le moteur (technologie Google), tandis
que 60 % choisissent le Guide. Nomade a, pour sa part, 53 % de ses
internautes utilisant le guide et 47 % utilisant le moteur (technologie
Google). |
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La popularit� des versions
francophones des outils |
Les versions francophones des
outils de recherche sont tr�s utilis�es : 72.5 % des visiteurs d�un site
venant de moteurs de recherche ou annuaires utilisent la version fran�aise
de l�outil ; 7 % utilisent des outils francophones (autres que fran�ais :
belges, suisses ou canadiens) et 17,7 % d�entre eux utilisent les versions
des divers outils de recherche disponibles. La perc�e de Google.fr ces
derniers mois (une croissance moyenne de 3 % mensuels) vient confirmer la
popularit� des versions fran�aises des outils de recherche. |
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Version du
moteur / annuaire |
Pourcentage |
Version
Fran�aise |
72,46% |
Version
Internationale |
17,72% |
Version
Canadienne |
3,91% |
Version
Belge |
2,11% |
Version
Allemande |
1,09% |
Version
Suisse |
1,00% |
Version
Italienne |
0,56% |
Version
Anglaise |
0,40% |
Reste |
0,76% |
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L�utilisation des moteurs de
recherche et annuaires diff�re |
82 % des utilisateurs de
moteurs de recherche trouvent le site recherch� sur la premi�re page de
r�sultats. Une moyenne de 28 % des requ�tes ne sont que d�un seul mot, 34 %
de deux mots et 37 % des requ�tes contiennent 3 mots ou plus. Google se
d�marque encore : en effet seulement 16 %
des requ�tes du moteur ne contiennent qu�un seul mot et pr�s de 50 % ont 3
mots ou plus ! Enfin, 5,2% du trafic de MSN vient de la r�cup�ration des
erreurs de frappes dans la barre d'adresse des navigateurs IE ! |
En ce qui concerne les
annuaires, 43 % des utilisateurs trouvent le site recherch� sur la premi�re
page de r�sultats ; les 54 % et 3 % restants naviguent respectivement, soit
dans le guide, soit en cliquant sur le bouton �Suite� ou �R�ponses
suivantes�. Si les moteurs de recherche ont une
majorit� de requ�tes � 3 mots-cl�s ou plus, les annuaires enregistrent quant
� eux des requ�tes plus simples, � un ou deux mots-cl�s. |
Dans le cas des coop�rations
Moteurs / Annuaires, Yahoo pr�sente des r�sultats int�ressants : pour les
requ�tes contenant un seul mot l�annuaire Yahoo r�pond le plus, mais au-del�
d�un mot tap�, c'est le moteur de recherche qui r�pond le plus dans un
annuaire ! |
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Forte utilisation des moteurs
de recherche, requ�tes cibl�es � 3 mots, majorit� des visiteurs ne
consultant que la premi�re page de r�sultats� tout semble indiquer que les
internautes d�aujourd�hui effectuant des recherches sur le web veulent aller
droit au but en trouvant directement l�information souhait�e avec des outils
adapt�s � leurs recherches et affinit�s. |
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(1) Analyse des liens d�acc�s
men�e conjointement avec la soci�t� @Position (www.aposition.com) portant
sur 20 149 052 visites enregistr�es sur 20 414 sites persos audit�s par
eStat du 01-03-02 au 31-03-02. |
(2) Analyse men�e conjointement
avec la soci�t� @position portant sur 81 878 229 pages vues enregistr�es sur
des sites dont
l�audience a �t� mesur�e par eStat du 01-03-02 au 31-03-02. Par principaux
outils de l�Internet francophone sont les suivants : Google, Yahoo,
Voila-Wanadoo, Msn, Lycos, Altavista, Nomade et Alltheweb. |
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Fr�d�ric Bailly - Pr�sident Fondateur du r�seau Les D�mineurs |
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Fr�d�ric Bailly - Fondateur et Directeur du r�seau Les D�mineurs
"La qualit� de service se situe � tous les niveaux" |
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" Les D�mineurs ont
besoin de s'appuyer sur des �quipes r�actives et professionnelles dont la
philosophie de travail rejoint l'engagement de qualit� du r�seau.
Ce sont
des valeurs que @position et les D�mineurs partagent. De part son
expertise humaine et sa technologie, @position
assure
une intervention rationnelle et efficace dans les
domaines du r�f�rencement et du positionnement " |
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Le r�seau des D�mineurs existe
aujourd�hui depuis plus de 4 mois. A-t-il d�j� fait ses preuves ?
Nous faisons nos preuves chaque jour en rencontrant des situations toujours
nouvelles chez nos clients. Nos experts, en ma�trise d�ouvrage ou ma�trise
d��uvre sont � chaque fois dans des cas diff�rents, souvent tr�s sensibles.
Jusqu�ici, notre taux de succ�s est maximal et nos interventions portent pour
moiti� sur des sites e-commerce, pour l�autre moiti� pour des grands comptes.
Quelles garanties apportent les interventions des experts du r�seau ?
Elles se situent � plusieurs niveaux. Nous nous engageons sur un triptyque �
co�ts � d�lais � r�sultats �. Et nous documentons toutes nos interventions et
transf�rons nos comp�tences vers les �quipes internes de nos clients afin que
celles-ci reprennent la main de mani�re autonome lorsque les probl�mes sont
corrig�s et la situation r�tablie.
Quels sont les principaux dysfonctionnements rencontr�s aujourd�hui ?
Il n�y a pas vraiment de typologie des dysfonctionnements enregistr�s. Nous
sommes en revanche beaucoup sollicit�s sur des probl�mes de performances
notamment puisque c�est le point de d�part de la d�marche entre nos clients et
leurs visiteurs. Et la rapidit� d�un site est impact�e par toute la cha�ne de
valeur d�un projet : applicatifs, bases de donn�es, ergonomie, int�gration,
h�bergement, r�seaux, architecture�
Nous identifions la source des probl�mes et mettons en place une �quipe d�di�e
et experte sur les outils et les environnements.
La qualit� de service du fonctionnement d�un site est-elle au c�ur des
pr�occupations des entreprises sur Internet ?
Pour nos clients oui. Si demain leur site est indisponible, peu performant,
pr�sente des probl�mes d�int�grit�, de confort d�utilisation ou encore de
s�curit�, leur taux de transformation ou leur image sont d�grad�s. Les
entreprises qui ont beaucoup investi depuis des ann�es sur des projets
e-business se concentrent d�sormais sur la relation client. Or celle-ci ne peut
s�int�grer que dans le cadre d�une r�elle qualit� de service et du d�ploiement
de services de qualit�.
Comment d�finir la notion d�interventions d�urgence pour un site ?
C�est fonction de la nature m�me d�un site. Imaginez un cybermarchand avec une
base de donn�es d�faillante ou d��normes failles de s�curit� ? Un portail de
contenus avec un outil de publication en panne ?
Il s�agit v�ritablement pour ces sites d�une situation d�urgence extr�mement
sensible o� nous devons pouvoir envoyer sur place en quelques heures des experts
et r�tablir le service le plus vite possible. Mais nous ne faisons pas que la
chirurgie, nous pratiquons �galement la m�decine chinoise en intervenant en
amont pour pr�venir tout risque de dysfonctionnement.
Quels sont les � services � minimums d�un site pour garantir la satisfaction
de l�internaute ?
Il n�y a pas de � service minimum �. La qualit� de service se situe � tous les
niveaux. Accepteriez vous d�acheter une voiture neuve qui n�a pas subi tous les
contr�les de s�curit� ou de qualit� ? C�est la m�me chose pour un service
Internet ; le moindre dysfonctionnement peut avoir des effets de bord et
provoquer l�interruption totale du service !
Ce qui me choque, c�est que l�Internet est le seul domaine industriel � ne pas
�tre soumis � des normes de qualit� et de fiabilit� ! Nous essayons dans notre
d�marche d�apporter des solutions dans ce sens pour garantir une qualit� de
service optimale.
Quels vont �tre les principaux dysfonctionnements � venir ?
Les architectures sont de plus en plus complexes ; les internautes toujours plus
nombreux et plus exigeants. Si l�architecture de l�Internet, en terme de tuyaux,
est largement suffisante aujourd�hui, les probl�mes se situeront plus sur des
carences applicatives notamment pour ce qui concerne les environnements
propri�taires.
Quelles sont les contraintes inh�rentes � la gestion d�un r�seau de 180
personnes ?
180 personnes, c�est aussi de nombreux m�tiers, de nombreuses expertises et des
cultures diff�rentes. Il faut veiller � ce que ces experts puissent travailler
ensemble, de mani�re coordonn�e et manag�e, et beaucoup d�entre eux l�ont d�j�
fait notamment sur des projets de D�minage de grands sites e-commerce ou de
portails.
Outre mes activit�s de coordination des projets sur lesquels ces experts
interviennent, mon r�le consiste � trouver le meilleur professionnel dans le
r�seau, capable d�apporter une expertise et d��tre imm�diatement op�rationnel
dans le dispositif mis en place.
Quels sont les moteurs et les freins rencontr�s dans les relations avec les
clients ?
Le frein principal est peut �tre li� � des ph�nom�nes culturels bien
sp�cifiques. Pour certains, faire appel aux D�mineurs pourrait �tre per�u comme
un aveu d��chec personnel. Nous voyons bien s�r les choses diff�remment en nous
positionnons r�ellement comme les alli�s de nos interlocuteurs.
Le r�seau doit-il s�agrandir ?
A priori non. 8 entreprises et 180 experts, c�est une taille critique qui nous
offre la possibilit� de r�pondre aux besoins d�expertise de nos clients. Cette
force, alli�e � notre ind�pendance, nous permet de rivaliser avec quelques
grands acteurs du march� tout en apportant des solutions imm�diates et p�rennes.
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@position interrog� par Olivier Andrieu (Abondance) |
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A l'occasion de sa lettre (payante) d'information de d�cembre, Olivier Andrieu (gestionnaire du site abondance) a consult� @position pour �tablir un bilan sur le r�f�rencement en 2001 et donner ses perspectives pour les ann�es � venir.
1. Olivier Andrieu : L'ann�e 2001 a �t� mouvement�e dans le monde des outils de recherche et des acteurs du r�f�rencement. Quelle est votre vision globale des mois qui viennent de s'�couler dans le monde du r�f�rencement ? Comment qualifieriez-vous cette ann�e : Transition ? Evolution ? R�volution ? Ou autre ?
Bruno Langlois : L�ann�e 2001 a marqu� une �volution sensible dans le monde du r�f�rencement.
Tout d�abord en terme de m�tier : au cours du premier semestre, le ralentissement �conomique a forc� la plupart des r�f�renceurs � rendre leurs prestations plus consistantes et plus justifi�es. Mais les premiers r�sultats de cette nouvelle orientation n�ont commenc� � arriver qu�au cours du deuxi�me semestre. Il s�agit l� d�une maturation importante du m�tier qui tourne davantage les prestataires vers leurs clients.
D�autre part en terme d�acteurs : le brusque revirement des investissements sur Internet, la fragilit� de certains prestataires ou de leurs clients, ont conduit d�s la premi�re partie de l�ann�e � la pr�carit� de nombreux r�f�renceurs tout en introduisant de nouveaux acteurs en qu�te de march� en croissance.
Ces deux tendances ne font que s�accro�tre avec le passage au payant des outils de recherche qui, en rendant une partie de la � mati�re premi�re � on�reuse parall�lement � de nouveaux services, d�une part oblige les prestataires � fournir une valeur ajout�e toujours plus importante, et d�autre part � consume � progressivement ceux qui ne voudraient ou ne pourraient pas le faire.
2. Olivier Andrieu : L'ann�e 2002 verra-t-elle, selon vous, l'av�nement global des offres de soumission payante, r�f�rencement payant et positionnement payant de la part des outils de recherche ? Comment ces offres vont-elles, � votre avis, modifier le monde du r�f�rencement ? Ce m�tier conna�tra-t-il, d'apr�s vous, d'autres �volutions dans l'ann�e qui vient et si oui lesquelles ?
Bruno Langlois : Pour des motivations simplement �conomiques il est raisonnable de penser que de nombreux outils de recherche vont proposer un certain nombre de services payants. Soumission, r�f�rencement, positionnement pourront faire partie des offres propos�es.
Cependant le mode payant implique de la part de l�outil de recherche une valeur ajout�e r�elle et d�montrable. Ceci va probablement influencer largement leur mode de fonctionnement ainsi que les services qu�ils proposeront.
Les r�f�renceurs, partenaires et clients, seront aux premi�res loges pour cette mutation des outils de recherche. En fonction de sa teneur, elle orientera certainement l��volution du m�tier des r�f�renceurs, vers du media planning, vers des m�tiers techniques d�optimisation des sites web, ou encore vers de l��tude, de la mesure et du conseil.
3. Olivier Andrieu : Un peu de prospective : Comment va, selon vous, �voluer le m�tier de r�f�renceur dans les deux � trois ann�es qui viennent ? Quelle sera, � votre avis, l'�volution la plus marquante dans ce domaine ? Et les freins �ventuels les plus importants ?
Bruno Langlois : L�ann�e 2001 a accentu� le foss� entre les r�f�renceurs d�entr�e de gamme et ceux dits � haut de gamme �.
Les premiers tarifs donn�s par les outils de recherche pour la soumission � entreprise � constitue une partie trop importante du budget d�une prestation payante d�entr�e de gamme. On peut s�attendre ainsi � une r�duction drastique de ce type de prestation et du nombre des entreprises qui en proposent.
Il ne restera alors que du r�f�rencement d�entr�e de gamme et gratuit d�une part, haut de gamme et payant d�autre part. Ce dernier n�existant qu�� la condition d�apporter une r�elle valeur ajout�e et d�montr�e. Cette exigence conduira � une concentration des acteurs pour atteindre une taille critique en fonction de leur march�, local ou international. La p�riode 2001-2002 aura vu et verra la maturation du m�tier, celle de 2002-2004 celle du march�.
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